Dépassez vos LIMITES PERSONNELLES et trouvez la vraie LIBERTÉ

Avez-vous déjà ressenti l’excitation de vous confronter à vos limites personnelles, et les dépasser grâce à votre courage, vos efforts, et parfois l’aide bienveillante des personnes autour de vous ?

Etes-vous confrontés à cette soif de connaissance, de liberté, et d’aventure pour votre vie ?

Vous vous êtes déjà sentis exclus d’un groupe, pour vos passions, vos différences, par quelque chose que les personnes autour de vous ne comprenaient pas ?

Je vous propose de découvrir l’histoire inspirante de Jonathan Livingston, un goéland pas comme les autres,  motivé pour sa plus grand passion : voler toujours plus haut, plus vite, et trouver ainsi la vraie liberté.

J’ai lu l’histoire de Jonathan Livingston le Goéland, de Richard Bach, quand j’étais petit. Je devais avoir 10 ans. Cette histoire de liberté, de recherche de ses limites, d’envie d’aventure et de découverte m’avait beaucoup marqué.

En le lisant à nouveau 30 ans plus tard, je réalise que cette histoire parle encore plus aux adultes, elle touche à des thématiques profondes de développement personnel : la douleur de se sentir exclu, le chemin sans fin du développement personnel, le plaisir de partager ses connaissance avec les autres, de voir leur potentiel, de les aider à le développer.

Je vous propose de découvrir cette histoire.

Jonathan Livingston n’était pas un goéland comme les autres. Toute sa communauté ne pensait qu’à manger ; lui, il voulait tout apprendre sur le vol. Il adorait voler : battre des records de vitesse, maîtriser les vols à basse attitude, réaliser des nouveaux voltiges spectaculaires, atterrir avec grâce.

Pour la plus grande consternation de ses parents, alors que tous ses semblables passaient leurs journées regroupés, avec le seul but de se nourrir, Jonathan se mettait à l’écart et passait ses journées à s’exercer à des nouvelles techniques de vol.

Il ne comprenait pas qu’ils se contentaient de ne maîtriser que les rudiments d’une activité aussi noble que le vol, alors qu’il y avait tout un monde merveilleux à découvrir, fait d’émotions fortes et d’un sentiment inégalé de liberté.

Certes, cela lui arrivait de rater un mouvement et s’écraser sur l’eau, pour la plus grande honte aux yeux des goélands qui le regardaient, mais c’était un petit prix à payer pour Jonathan, qui avait une soif infinie de toujours apprendre des nouvelles choses.

Cela lui était arrivé à quelques reprises, pour faire plaisir à ses parents et pour ne pas toujours rester seul, d’essayer de se comporter comme les autres. Mais cela ne durait jamais plus que quelques jours. A quoi bon passer sa vie avec la seule préoccupation de manger ?

Il revenait alors à ses explorations, à apprendre sans cesse des nouvelles merveilles du vol.

Et puis un matin, quand il avait compris comment maîtriser le vol à grand vitesse, il traversa la tribu partie à la recherche du petit déjeuner à près de 360 km/h.

Il était tout fier de son exploit ! Dans toute l’histoire de la tribu, aucun autre goéland n’avait jamais réussi à faire ça, un nouveau monde de possibilités s’ouvrait, il était impatient d’apprendre à tout le monde ce qu’il avait découvert.

La solitude

Le soir, quand il atterrit parmi sa colonie, il trouva tous les autres goélands réunis en Grand Conseil, et l’Ancien l’appela à se placer au centre de l’Assemblée. Quel honneur, pensa Jonathan, c’est le moment où tout ce que j’ai appris sur le vol est finalement reconnu !!

Quelle mauvaise surprise pour lui d’entendre l’Ancien annoncer avec un ton solennel: « Honte à toi pour ton manque de responsabilité, Jonathan. Un jour tu apprendras peut-être à respecter la tradition et les règles de cette communauté. Avec tes folies tu mets à risque non seulement ta vie, mais aussi celle des autres. Tu es un mauvais exemple. Tu dois désormais quitter cette communauté, et tu passeras le reste de tes jours en solitude. »

Consterné, Jonathan quitta la colonie. Encore plus que la douleur de la solitude, son plus grand chagrin était de constater que les autres goélands refusaient d’ouvrir les yeux, sur tout ce qu’une meilleure connaissance du vol pouvait leur apporter.

Par exemple, grâce à la technique et la vitesse du piqué verticale, il pouvait désormais attraper les savoureux poissons qui nagent à 3 mètres de profondeur. Plus besoin de bateaux de pêche pour manger.

Il apprenait de nouvelles choses tous les jours, et ce qu’il souhaitait pour sa communauté, il l’avait désormais pour lui seul. Il comprit que l’ennui, la peur et la colère étaient les raisons qui rendent la vie des goélands brève et insatisfaisante. En ayant appris à les chasser de ses pensées, Jonathan vivait une existence pleine et longue.

Une nouvelle vie

Puis un soir, deux goélands aux ailes pures comme les étoiles, volant avec une grâce merveilleuse, apparurent à ses côtés. « Ton apprentissage élémentaire est terminé » lui dirent-ils, « nous sommes venus te chercher pour te mener encore plus haut, pour que tu puisse continuer ton apprentissage à une autre école ».

Comme il s’élevait de la terre, son corps devenait aussi radieux que les leurs, il pouvait voler bien mieux et plus vite qu’avant. Quand les nuages s’ouvrirent, Jonathan vit un petit nombre d’autres goélands qui s’exerçaient au vol, et qui vinrent à sa rencontre. Il se sentit immédiatement bienvenu et accueilli par sa nouvelle communauté.

Dans les jours suivants, Jonathan comprit qu’il avait autant à apprendre sur le vol que ce qu’il avait appris dans sa vie d’avant. Ici, les autres goélands partageaient ses envies : ils voulaient apprendre toujours davantage, et atteindre la perfection dans le vol.

Un jour il demanda à son moniteur Sullivan : « Pourquoi il y n’a pas plus de goélands ici ? Dans ma colonie d’avant il y en avait des milliers ». «  Je n’en ai jamais rencontré quelqu’un comme toi » lui répondit Sullivan. « A différence de toi, la plupart d’entre nous progresse très lentement. A chaque vie, nous passons à un monde très proche du précédent. Nous avons eu besoins de plus de milles vies pour soupçonner que l’on pouvait vivre de quelque chose de plus que la simple nourriture. Puis d’une centaine de vie pour découvrir l’existence d’un idéal comme la perfection, et des centaines d’autres pour comprendre que dégager et proclamer cette perfection était notre seule raison de vivre. A chaque fois, le monde dans lequel on arrive dépend dans ce que l’on a appris dans la vie précédente : si nous n’apprenons rien, le prochain monde sera identique à l’actuel. »

« Mais toi, Jonathan, tu as tellement appris en une vie que tu n’as pas eu besoin d’en traverser mille pour arriver ici. »

Le paradis

Un soir Jonathan pris le courage de s’adresser à l’Ancien des goélands qui, malgré l’âge avancé, avait plus de puissance et habilité dans le vol que n’importe qui d’autre dans la communauté. Sa sagesse était encore plus grande que son habilité dans le vol.

« Chiang, est-il vrai qu’ici ce n’est pas le paradis ? Où allons nous ? ».

« Le paradis n’est pas un espace, ni une durée dans le temps. » répondit Chiang. « Le paradis, c’est simplement être soi-même parfait. Tu commencera à toucher au paradis au moment où tu accéderas à la vitesse absolue, qui n’st pas de voler à quinze cents km/h, ni quinze mille. Elle n’a aucun nombre, parce que chaque nombre nous limite et la perfection n’a pas de limites ». A ces mots, l’ancien disparut pour apparaître simultanément à quelques dizaines de mètre de distance, et puis encore une fois pour réapparaître aux côtés de Jonathan.

« Pouvez-vous m’enseigner à faire de même ? » demanda Jonathan.

« Oui, si tu le désire. Pour voler à la vitesse de la pensée, il faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. Il faut cesser de se considérer limité par son corps. Le secret et d’avoir la conviction absolue que son être, aussi parfait qu’une idée, est présent partout, dans le temps et dans l’espace ».

Après un nombre interminable de tentatives dans lesquels Jonathan n’avait pas progressé d’un millimètre, un jour il ressenti une révélation subtile : « C’est vrai ! Je suis un goéland parfait et sans limites !! ». En rouvrant les yeux, il se retrouva seul avec l’Ancien sur un rivage différent.

« Bravo ! » le félicita Chiang ,« tu as désormais saisi le principe ! Tu n’as qu’à continuer à travailler pour une maîtrise totale ».

Puis, un jour, Chiang disparut pour toujours. Il était en train d’inviter les autres goélands à ne jamais mettre fin à leur recherche de la connaissance, à continuer à étudier l’Amour. Ses plumes devinrent de plus en plus éblouissantes tant que les autres durent baisser les yeux, et quand ils purent regarder à nouveau, il n’était plus parmi eux.

Le retour

Dans les jours suivants, Jonathan se retrouva à penser de plus en plus fréquemment à la Terre d’où il était venu. Il se demandait s’il n’y avait pas quelque part un autre goéland qui, comme lui, était passionné par le vol, tant de se retrouver isolé du reste de la communauté, et qui aurait bénéficié de l’aide de quelqu’un qui était déjà passé par là.

Son ami Sullivan était sceptique : «  On t’a déjà exclu de la communauté. Pourquoi devraient-ils t’écouter maintenant ? Les goélands d’où tu viens sont distants mille lieux d’où tu es; ils ne verront pas le chemin que tu souhaites leur montrer, ni voudront l’entreprendre. Reste ici : les nouveaux arrivées ont besoin d’apprendre, et eux ils souhaitent t’écouter ».

Mais l’envie de revenir se faisait toujours plus grand, jusqu’au que Jonathan décida de partir. Comme il avait pris l’habitude, il ressentit l’assurance qu’il n’était pas que plumes et os, il était surtout liberté et espace. Rien au monde ne pouvait le limiter.

Il apparu alors à côté de Fletcher Lynd, un très jeune goéland énervé contre sa communauté qui venait de l’exclure à cause d’une manœuvre de vol un peu hasardeuse à côté d’un Ancien.

« Ne les juges pas trop sévèrement », lui dit Jonathan. « Le tort le plus grand l’ont fait à eux-mêmes, un jour ils comprendront. Et toi ? Est-ce que tu veux apprendre à voler, vraiment, et puis un jour revenir pour les aider ? »

En voyant cet être magnifique voler avec une grâce extraordinaire, Fletcher répondit : «  Oui, je veux voler !! ».

Trois mois plus tard, Jonathan avait 6 autres élèves, tous exclus de leur communauté par leur passion pour le vol. Autant ils aimaient bien s’entraîner et apprendre des nouvelles techniques, autant ils avaient du mal à suivre quand Jonathan leur parlait de perfection, de la non existence des limites, d’Amour et de Liberté.

Quelques semaines plus tard, Jonathan leur annonça que le moment était venu de retourner tous vers le clan. Ses élèves étaient angoissés : personne n’avait transgressé la loi du clan où un exclu ne doit jamais revenir dans le groupe. Mais Jonathan répondit : « Nous sommes libre d’aller où bon nous semble, et d’être ce que nous sommes ».

Ce matin-là le clan vit revenir les huit exclus, volant de manière très élégante, en formation. Atterrit sur la plage, Jonathan analysa le vol effectué comme c’était son habitude.

Le message de l’Ancien fut clair et immédiat : « Tout goéland qui parlera avec un exclu, sera exclu lui-même. Tout goéland qui les regardera, sera en infraction de la loi du clan. ». Malgré cela, peu à peu, un cercle de curieux se forma autour des élèves. D’abord la nuit, pour ne pas être vus, et ensuite même pendant la journée.

Un soir, le premier goéland du clan passa la ligne de démarcation et rejoignit le groupe pour apprendre à voler. La nuit suivant, cela fut le tour du deuxième. La foule de ceux qui venait poser des questions, admirer ou critiquer, augmentait chaque jour.

Les problèmes avec la communauté ne manquaient pas ; les autres goélands exprimaient régulièrement leur haine, parfois même la violence envers ce groupe de rebelles.

« Comment tu fais pour les aimer, Jonathan ? Pourquoi tu insistes à rester à côté de ceux qui te veulent du mal ? » lui demanda un jour Fletcher. « Ce n’est pas ni la haine ni le mal que l’on aime », répondit Jonathan, « L’Amour consiste à s’efforcer de voir la vérité et ce qui est bon dans chacun de ses semblables, et l’aider à le voir en lui-même ».

« C’est maintenant à toi de continuer à conduire cette communauté. Je souhaite accompagner les exclus d’autres clans dans le chemin vers la perfection. Tu n’as plus besoin de moi ici. Ne te fis pas de tes yeux, Fletcher, ils le montreront que des limites, les tiennes. Regarde plutôt avec l’esprit, ta conviction va te montrer la voie. »

Sur ces paroles, Jonathan s’évanouit dans l’espace.

Le jour suivant, en regardant ses nouveaux élèves, Fletcher réussit à les voir tels qu’ils étaient vraiment en un instant, et ressentit envers eux une affection et un amour profonds. « Tu as raisons Jonathan », se dit-il avec un sourire, « il n’y a pas de limites. »

Qu’en pensez-vous de cette histoire ? Est-ce qu’il y en a d’autres qui ont marqué votre esprit ?

Partagez vos histoires inspirantes dans les commentaires ci-dessous.

Si les comptes inspirants vous intéressent, je vous conseille de voir la vidéo dédiée au livre « L’alchimiste » de Paulo Coehlo, ou encore celle dédiée au livre « Le plus grand vendeur du monde » de Og Mandino.A très vite, pour de nouvelles idées !!!


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