🤗 Les BONS CONSEILS pour faire face à un MOMENT DIFFICILE…
Dans la vie, cela nous arrive de devoir faire face à des situations délicates, complexes, dans lesquelles on ne sait pas très bien comment réagir et qui nous font souffrir.
Par exemple, nous pouvons nous se sentir perdus, être confronté à un problème difficile, perdre confiance en nous-mêmes, ne voir que nos défauts.
Comme il serait bien d’avoir quelqu’un, à côté de nous, qu’en ces moments sait nous donner des bons conseils, trouver les bonnes paroles, savoir ce qui peut nous aider pour mieux avancer.
Et parfois quelque belle histoire est ce qu’il nous faut pour retrouver la bonne perspective, le bon état d’esprit pour gérer ces situations.
A travers son livre « Ce que j’aimerais te dire… » Emeric Lebreton, docteur en psychologie, souhaite partager des conseils qui peuvent nous aider quand nous sommes face à des preuves douloureuses de la vie, comme un deuil, une séparation, la sensation d’être perdu, d’être seul, de perdre de la confiance en soi.
Et dans ces situations, des mots bienveillants, des nouvelles perspectives, sont ce dont nous avons besoin pour retrouver la force pour avancer, pour tourner la page, pour faire face à la vie.
Avant de commencer la synthèse, pensez à trois animaux qui vous viennent immédiatement à l’esprit. Vous en découvrirez la signification à la fin de la vidéo.
Ne voir que ses défauts
Cela vous arrive aussi de ne voir que vos propres défauts ? Voilà ce que l’auteur aimerait nous dire pour nous faire voir tout ce qu’il y a en nous de merveilleux et unique.
On pense parfois que pour être aimé, nous avons besoin d’être parfait. A part que la perfection est une utopie, mais en plus plusieurs études montrent que les gens trouvent la perfection effrayante, et qu’ils aiment bien les personnes qui ont à la fois des qualités et des défauts.
D’ailleurs, chacun de nous a en soi les qualités, la connaissance et la force intérieure nécessaires à accomplir des choses géniales dans la vie. En effet, n’importe quelle caractéristique devient une qualité ou un défaut en fonction du contexte.
Quand nous pensons à un trait de personnalité que nous avons et que nous considérons une imperfection, très vite nous ressentons de la culpabilité ou de la honte envers ce que nous considérons être un défaut. En réalité, ce n’est qu’une question de contexte : dans quel environnement, avec quelle personne, ce qui est actuellement un défaut peut se révéler une excellente qualité ?
Nos défauts sont le signe de notre singularité. Plutôt que vouloir se conformer à ce que les autres ou la société attend de nous, nous pouvons chercher à être ce qui nous sommes réellement. Nous pouvons utiliser nos défauts comme des signes qui nous aident à mieux réussir et mieux s’épanouir ailleurs. Nous pouvons en faire quelque chose d’extraordinaire.
Certes, parfois nos défauts nous font souffrir. Quand cela arrive, nous devons faire preuve de compassion envers nous-mêmes. Nous devons nous parler avec douceur et empathie, comme à un ami qui nous confie sa douleur.
Comme l’a dit Goethe, celui qui reconnaît consciemment ses limites est le plus proche de la perfection.
Cela peut parfois arriver de perdre confiance en soi. Voilà ce que l’auteur aimerait nous dire pour nous faire voir tout le potentiel extraordinaire qui est en nous.
Perdre confiance en soi
Une légende indienne raconte qu’à une époque les hommes et les femmes étaient des dieux. Mais puisqu’ils abusaient de leur pouvoir, Brahma, le roi des dieux, décida de cacher ce pouvoir dans un lieu où ils ne pourraient jamais le retrouver. Après avoir longuement réfléchi, il décida : « Je vais cacher la divinité des hommes et des femmes là où ils n’auront jamais l’idée de la trouver : au plus profond d’eux-mêmes. »
Pour retrouver confiance en vous, vous pouvez partir à la découverte de ce trésor. Apprenez à connaître vos valeurs, votre personnalité, vos besoins et vos talents, et agissez en conséquence.
Si face à une situation difficile nous ressentons du stress, de la peur ou de la douleur, cela n’est pas lié à la situation elle-même, mais à notre réaction émotive. Pour nous aider à mieux gérer ces situations, nous pouvons nous entraîner par la visualisation. En fermant les yeux, imaginez de vivre cette situation, et laissez venir en vous les émotions, les pensées, les sensations.
Puisque le cerveau confond le réel avec l’imaginaire, vous vous entraînez ainsi à gérer ces situations.
Dans notre vie, nous pouvons explorer 3 territoires différents :
- La terre du confort, où nous maîtrisons tout, où nous sommes parfaitement à l’aise avec les personnes et les choses qui s’y trouvent. Vivre ici c’est aisé, mais aussi sclérosant et ennuyant.
- La terre du défi, où nous rencontrons des nombreuses choses et personnes nouvelles. Pour nous adapter, nous devons puiser dans nos ressources. Vivre ici est à la fois déstabilisant et excitant !!
- La terre du danger : où nous ne maîtrisons pas grand chose. Ici on vit à cent à l’heure, mais c’est aussi potentiellement dangereux.
Si on apprend à nous familiariser avec l’inconfort que nous ressentons en dehors de la terre du confort, nous pouvons véritablement grandir et acquérir des nouvelles expériences. Notre territoire deviendra de plus en plus grand, et un jour nous aurons bâti une confiance absolue en nous-mêmes.
Prendre une décision importante
En ce moment, vous êtes face à une décision importante, et vous avez peur de faire le mauvais choix. Voilà ce que l’auteur aimerait vous dire pour vous donner le moyen de prendre la décision qui vous rendra heureux.
Il nous arrive parfois dans la vie de faire des choix pour plaire aux autres, pour répondre aux attentes de notre famille ou de la société, parce que nous voulons éviter le risque de leur déplaire ou de les décevoir.
Face à un choix important, nous pouvons choisir de suivre la boussole du « sacrifice de soi », celle qui nous pousse à respecter les conventions sociales et le rôle que les autres veulent que nous jouons. Ou alors, nous pouvons choisir de suivre la boussole qui nous dirige vers « le bonheur », elle nous invite à être en accord avec notre vraie nature, avec nos valeurs les plus profondes.
Suivre la boussole du bonheur demande de payer un prix, celui de remettre en question les avantages acquis, son statut, sa valeur au sein de la société. Elle nous oblige à prendre la pleine responsabilité du chemin que nous choisissons, et en même temps à accepter que nous ne sommes pas responsables du bonheur des autres, de ce qui leur arrive.
C’est en décidant de rester en adéquation avec notre personnalité profondes que nous pouvons véritablement satisfaire nos besoins et solliciter nos talents.
Pour prendre des décisions alignées avec qui nous sommes, nous devons apprendre à faire confiance à notre intuition, qui est l’intelligence du cœur.
Il est impossible de connaître à l’avance toutes les conséquences d’une décision. Mais vous pouvez compter sur votre capacité à toujours tirer le meilleur de votre situation. Donc, n’ayez pas peur de prendre rapidement une décision, pour ensuite agir avec toutes vos forces pour faire en sorte qu’elle soit la bonne !!
Avoir envie d’abandonner
Quand nous sommes confrontés à de nombreux problèmes et au sentiment de ne pas y arriver, nous pouvons avoir envie d’abandonner. Voilà ce que l’auteur aimerait nous dire pour réveiller la foi, le feu et la force qui vivent en nous.
Un jour, deux grenouilles tombèrent dans une jatte de crème. Elles n‘arrivaient plus à nager et à en sortir et risquaient de se noyer. Au bout de quelques minutes d’efforts énormes sans résultats, une grenouille dit : « Je n’ai plus de force. Je n’arriverai jamais à m’en sortir. Cela ne sert à rien de continuer à se débattre, je vais mourir de toute façon ». L’autre grenouille, plus obstinée, se dit : « Même si je vois bien qu’il n’y a pas moyen de s’en sortir, je vais lutter jusqu’au dernier souffle ». Et pendant des heures elle continua à s’agiter au même endroit. A force de se débattre, soudainement, la crème se transforma en beurre e la grenouille arriva a sauter en dehors de la jatte.
Quand on se bat pour résoudre des difficultés, on a parfois l’impression que nos actions soient vaines. Mais les actions que nous réalisons sont comme des graines. Parmi celles que l’on plante, il y en a qui vont donner des résultats importants dans quelques temps. C’est juste que sur l’instant on ne le voit pas.
Quand nous sentons nos forces fléchir, il est important de se rappeler de ce que l’on cherche dans la vie, de notre but. Peut importe quel est ce but (la santé, le bonheur, la liberté, la fortune), nous devons le visualiser clairement, et lui donner toute notre attention.
Pour ne pas nous détourner de ce but, il est utile de créer un tableau de visualisation, sur lequel coller des images, dessins et citations qui correspondent à notre but. Si on place ce tableau à un endroit ou nous pouvons le voir tous les jours, nous pourrons nous rappeler facilement de nos objectifs et des moyens que l’on souhaite se donner pour y parvenir.
En gardant toujours notre objectif en tête, nous allons agir de façon à nous en rapprocher, on avance dans la bonne direction sans même nous en rendre compte.
Refuser de l’aide
Vous traversez en ce moment une période délicate. Vous tenez absolument à vous en sortir tous seuls, sans recourir à l’aide de vos proches. Voilà ce que l’auteur aimerait vous dire pour ouvrir votre cœur, et accepter l’aide précieuse qui vous est offerte.
Certaines personnes refusent de demander de l’aide parce qu’ils le considèrent un signe de faiblesse. C’est notre égo, la partie de nous qui tient absolument à exister et à maîtriser, qui nous pousse à vouloir surmonter seuls nos difficultés, parce qu’il veut prouver sa puissance. En réalité, demander de l’aide ce n’est pas une faiblesse : celui qui demande de l’aide est fort, c’est quelqu’un qui reconnaît son humanité et sa fragilité, et qui a l’intelligence de comprendre que, par notre nature sociale, nous pouvons bénéficier énormément des relations et de la coopération avec les autres.
D’autres ne veulent pas s’exposer au risque de se montrer vulnérables, d’être ignorés, ou peut être de se sentir redevables envers les autres. Rassurez-vous : les êtres humains aiment aider les autres, vous serez surpris du temps et de l’énergie qu’ils sont capables de vous consacrer.
Donc, n’ayez pas peur de solliciter l’aide de personnes qui vous entourent. Il n’y a pas plus grand honneur, plus grande preuve de confiance envers un ami que de lui ouvrir votre cœur en difficulté pour demander son aide et son conseil.
Vous n’avez pas forcément besoin de quelqu’un de compétent dans le domaine, vous avez surtout besoin de quelqu’un de humble, dont la première motivation est de se mettre au service des autres.
Comme l’a dit Pythagore : « Un homme n’est jamais si grand que lorsqu’il est à genoux pour aider un enfant ».
La peur de vieillir
Penser à la vieillesse peut inquiéter et rendre tristes. Voilà ce que l’auteur aimerait vous dire pour accueillir ce cadeau, cette chance qui nous est offerte par la vie. La vie n’est pas très différente de l’ascension d’une montagne. Il s’agit d’une succession d’efforts, de belles rencontres, ainsi que de moments de joie, de difficulté, ou de repos.
C’est un chemin qui nous fait avancer et grandir, qui nous permet de découvrir des nouvelles sensations et des nouveaux paysages.
Chaque jour, chaque année qui passe nous font grandir en expérience, en connaissance et en sagesse, et nous permet de devenir meilleur. Plus notre corps vieillit, plus l’âme et l’esprit grandissent.
Un proverbe japonais dit que l’on commence à vieillir quand on finit d’apprendre. Nous restons jeunes tant que nous restons réceptifs à ce qui est beau, bon et grand. Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille, qui défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie. Nous pouvons décider d’accompagner le mouvement naturel de la vie : apprendre quand on est jeune, faire quand on est adulte, et transmettre quand on est vieux.
Garder jeunesse et énergie est le résultat d’une décision : il y a des hommes et des femmes âgés sur le plan physique qui ont plus d’énergie et d’envie de vivre que des jeunes de vingt ans.
Nous pouvons être un exemple pour nos enfants, pour qu’ils aient confiance dans l’avenir. Le charme et la beauté se construisent plus qu’ils ne s’héritent.
Vous vous rappelez de la question des 3 animaux qui vous viennent à l’esprit du début de la vidéo ?
Et bien, le premier représente la manière dont vous vous voyez. Le deuxième celle dont les autres vous perçoivent. Et le troisième animal correspond à ce que vous êtes vraiment.
Voilà, vous connaissez maintenant les conseils d’Emeric Lebreton dans son livre « Ce que j’aimerais te dire… » pour faire face à certaines situations difficiles. Pour cette synthèse, j’ai choisi uniquement quelques sujets ; si vous aimeriez avoir des mots bienveillants sur le deuil, la séparation, la colère ou le rejet, je vous invite à lire le livre.
Si cette vidéo vous a plu, je vous invite à voir la vidéo « De la part d’un ami » de Tony Robbins, ou encore celle dédiée au livre : « Être heureux en Alaska », de Rafael Santandreu.
A très vite pour des nouvelles idées !!
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