On entend dire souvent que nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. C’est faux ! Il n’y a pas une partie du cerveau qui ne soit pas utilisée.
Ce qui est vrai, par contre, c’est que nous n’utilisons qu’une petite partie de son potentiel.
On entend dire souvent que nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. C’est faux ! Il n’y a pas une partie du cerveau qui ne soit pas utilisée.
Ce qui est vrai, par contre, c’est que nous n’utilisons qu’une petite partie de son potentiel.
Notre compréhension et nos hypothèses autour du comportement humain se basent souvent sur des fausses croyances. Les connaissances que nous absorbons de notre environnement, et que nous finissons par appliquer régulièrement, apparaissent souvent crédibles, mais peuvent en réalité se révéler erronées.
Nous risquons de mal interpréter une situation, et de prendre une mauvaise décision, à cause des raccourcis que nous prenons.
Vous avez probablement déjà entendu parler des habitudes. Il s’agit des actions ou des pensées que nous réalisons régulièrement, souvent de manière automatique, inconsciente.
Les rituels sont très similaires : il s’agit aussi de choses que nous faisons de manière automatique, presque sans effort mental. A différence d’une habitude, un rituel est réalisé de manière délibérée, avec intention et concentration.
C’est quand nous choisissons nos habitudes qu’elles deviennent des rituels.
Dans le monde ultra-connecté d’aujourd’hui, présenter ses idées dans une conférence et mettre la vidéo en ligne permet d’attendre un auditoire de dimension planétaire. Avec une bonne performance, il est possible d’avoir un impact significatif sur le public, le mobiliser sur une cause ou un projet qui nous tiens à cœur, transformer sa vision ou sa compréhension du monde.
Je ne sais pas si vous avez déjà eu l’occasion de voir la vidéo d’une conférence TED. En moins de 18 minutes, certains conférenciers arrivent à nous expliquer clairement des idées complexes, à toucher des cordes profondes de nos émotions, et transforment à jamais notre vision du monde.
Réussir sa prise de parole en public est un atout puissant pour gagner l’attention des gens dans un monde où cela devient de plus en plus difficile, et les convaincre de vos idées, les mobiliser sur une cause ou un projet qui vous tiens à cœur.
D’après le nombre de visualisations des dernières vidéos Mind Parachutes, vous avez bien aimé le sujet de la procrastination, de comment mieux s’organiser, de comment dépasser ses barrières et réussir à passer à l’action !
En cherchant d’autres bouquins sur le sujet, je suis tombé sur le livre « Arrête de déconner ! », de Sarah Knight. J’ai trouvé le titre vraiment original, et j’ai voulu découvrir quelles idées se cachaient derrière un livre à l’apparence pas trop sérieux.
Le minimalisme est un style de vie qui rencontre de plus en plus d’attention à travers le monde. En nous montrant comment prendre de la distance avec un mode de vie basé sur la consommation, et le niveau de stress qui l’accompagne, le minimalisme permet de faire de la place pour des expériences et des relations plus profondes et satisfaisantes.
Rafael Santandreu est un psychologue et écrivain catalan dont les idées à la fois simples et très fortes, basées sur la psychologie cognitive, rencontrent un grand succès à travers le monde. J’ai pu découvrir sa philosophie de vie grâce à Cristina, une très bonne amie, qui après une visite m’a fait le cadeau du livre « Être heureux en Alaska ».
La procrastination est la tendance à différer la réalisation d’une action ou la prise de décision. Souvent, elle est associée à la paresse, au manque de discipline, ou au caractère faible de la personne qui procrastine.
Le livre « La procrastination : pourquoi vous le faites, comment l’adresser maintenant » présente les résultats du travail de plusieurs décennies sur le sujet de la part de 2 chercheuses universitaires, Jane Burka et Lenora Yuen.
La procrastination est la tendance à différer, à remettre au lendemain une décision ou l’exécution d’une action. Très souvent, nous associons la procrastination à la paresse, au manque de discipline, à un caractère faible de la personne qui procrastine.
Et si cette vision était trop simpliste ? Si derrière cette tendance à éviter l’action se trouvaient des mécanismes psychologiques plus profonds que juste l’envie d’esquiver le travail ou l’effort ?