Les 5 REGRETS des personnes en fin de vie : les connaître pour VIVRE MIEUX !

Un des cadeaux les plus beau que la vie peut nous offrir est d’arriver à notre dernier jour, satisfaits de la vie que nous avons vécu, sans regretter de choses que l’on aimerait avoir fait et que l’on a pas eu le courage de faire.

Vivre sans regret n’est pas quelque chose que l’on réalise d’un moment à l’autre. Il s’agit d’un processus quotidien, qui nécessite de notre part de prendre consciemment des décisions courageuses, et de réaliser des gestes pleins d’amour vis-à-vis des autres, mais aussi de nous-mêmes.

Trouver ce courage n’est pas toujours facile, mais il ne sera jamais aussi douloureux que se retrouver sur son lit de mort et éprouver des regrets.

C’est le message que beaucoup de personnes en fin de vie ont partagé avec Bronnie, leur aide soignante, afin que d’autres ne commettent pas la même erreur.

Il y a 5 regrets en particulier qui pèsent lourd à la fin de sa vie. Découvrez lesquels, pour que vous puissiez les éviter et vivre sereinement et en paix jusqu’au dernier jour !!!

Dans la société occidentale, nous avons fait le maximum pour éloigner la mort de notre expérience quotidienne. Nous voulons à tout prix éviter de penser que nos proches, que nous-mêmes, allons mourir un jour.

Pourtant, c’est quelque chose d’inévitable. Si nous abandonnons la stratégie de l’autruche, il est possible découvrir que les personnes en fin de vie peuvent être une source inestimable de sagesse et de conseils de vie qui peuvent rendre notre quotidien beaucoup plus profond, intense. Face à l’inéluctable présence de la mort, elles arrivent à voir toute leur vie avec une lucidité et une honnêteté que très difficilement nous arrivons à atteindre à d’autres moments.

C’est ce que Bronnie Ware, après plusieurs années passées comme aide soignante pour des personnes en fin de vie, a appris à travers des échanges émouvants, plein d’humanité, avec elles. Elle a décidé de partager cette sagesse universelle dans le livre « Les 5 regrets des personnes en fin de vie », avec l’espoir de nous inspirer à regarder et à faire face à notre vie différemment, justement pour éviter ces regrets quand ce sera notre tour de devoir faire face à la mort.

1. Avoir le courage de vivre sa vie

Le regret le plus commun est : « J’aurais aimé avoir le courage de vivre une vie fidèle à moi-même, et non celle que les autres attendaient de moi ».

Que ce soit par la difficulté de se confronter à des attentes différentes de nos parents, nos partenaires, ou de la société, cela nous arrive de choisir la facilité et décider de suivre le chemin que les autres nous indiquent, plutôt que le chemin qui nous fait envie, celui qui mieux correspond à ce que nous sommes vraiment.

La liberté et l’indépendance nécessaires pour vivre la vie fidèles à nous mêmes ont besoin de courage au jour le jour, elles nous exposent au risque d’être critiqués ou même refusés par les autres. Nous craignons de nous retrouver seuls, de perdre l’amour des personnes qui nous entourent si nous décidons de décevoir leurs attentes pour suivre nos rêves.

On se dit qu’on aura l’occasion de nous rattraper plus tard, jusqu’au moment où la vie décide autrement et l’on se rend compte que ce que l’on a toujours attendu pour réaliser, finalement nous n’aurons plus le temps pour le faire.

En ce moment, la douleur et le regret de cette réalisation surpassent largement le courage dont on aurait eu besoin pour nous affirmer davantage. Celui de se conformer aux attentes des autres, plutôt que de suivre son propre chemin est le regret le plus fréquent des personnes qui se trouvent en fin de vie.

2. Ne pas travailler autant

Le 2ème regret est : « J’aurais aimé ne pas avoir travaillé autant ».

Si nous passons autant de temps au travail, ce n’est pas uniquement parce que nous aimons ce que nous faisons, ni pour satisfaire les besoins matériels pour nous et notre famille. Le statut social qui accompagne le travail, le rôle qu’il nous donne face à nos amis et à la société, deviennent finalement une addiction qui nous prive de moments précieux, pour nous et pour les personnes que nous aimons.

A force de faire des plans pour le futur, de mettre comme condition à notre bonheur l’atteinte de certains résultats, et d’agir comme si nous avions toujours tout le temps du monde, nous finissons par oublier que tout ce que nous avons c’est notre vie d’aujourd’hui, dans le moment présent.

Il n’y a rien de mauvais à chercher une vie meilleure, même sur un plan matériel, et un travail plus satisfaisant. Il faut juste faire attention que la quête constante d’avoir plus, le besoin d’être reconnus grâce à nos réalisations et à nos possessions, ne nous empêchent pas de profiter des choses qui ont vraiment de la valeur, comme le temps passé avec les personnes qui comptent pour nous, et à faire les choses que nous aimons. Très probablement, tout est question de trouver le bon équilibre.

3. Avoir le courage d’exprimer ses sentiments

Le 3ème regret est : « J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments »

Ce n’est pas évident de se montrer pour qui on est réellement, d’exprimer ouvertement nos sentiments et nos fragilités. Afin de nous protéger, et pour protéger les personnes qui nous entourent, nous préférons garder beaucoup de choses pour nous.

La conséquence de cette distance que l’on crée avec les autres, est qu’il devient de plus en plus difficile de s’ouvrir et de partager ce que l’on pense et ce que l’on ressent, même avec les personnes qui sont à nos côtés tous les jours. On finit par se sentir seuls et fragiles, on ne sait même plus comment faire pour parler de ses sentiments profonds.

Et finalement, on finit par regretter de devoir se séparer des êtres qui nous sont chers sans qu’ils aient eu l’occasion de nous connaître vraiment. L’alternative est d’accepter de démarrer des conversations qui sont difficiles sur l’instant, d’aborder des sujets très intimes ou potentiellement conflictuels.

On ne sait jamais comme l’autre personne va réagir. Parfois, les effets négatifs sur la relation que nous souhaitons éviter se réalisent. Mais la plupart du temps, le courage d’exprimer ses sentiments profonds permet d’établir et cultiver des relations fortes, spéciales et positives. Et cela nous permet de nous retrouver, à la fin de notre vie, sans le regret que les personnes autour de nous ne nous connaissent pas vraiment. 

4. Rester en contact avec ses amis

Le 4ème regret est : « J’aurais aimé rester en contact avec mes amis »

Une des erreurs que l’on peut commettre, et que l’on va regretter sur notre lit de mort, est de perdre contact avec ses propres amis. On imagine que certaines amitiés seront toujours là, que rien au monde pourra nous les enlever. Mais sans les cultiver activement, les occupations quotidiennes et les différents sentiers que la vie nous amène à prendre, finissent par nous faire perdre contact avec nos amis les plus chers. Et d’un coup, on se retrouve seuls, sans personne qui connaît notre histoire et qui nous comprend vraiment.

La solitude n’est pas se retrouver sans personne autour : il s’agit du sentiment de manque de compréhension et d’acceptation de la part des autres, peu importe s’ils sont nombreux à vos côtés. S’il n’y a personne pour vous comprendre et vous accepter tel que vous êtes, la solitude va probablement se manifester de façon angoissante. C’est très différent d’être seul.

Ce qui est génial avec les amitiés profondes, de longue date, est qu’il ne faut pas beaucoup de temps avec l’autre pour que la relation reste vive, intense. Un simple coup de fil, un simple moment partagé, suffisent pour apporter beaucoup de valeur à votre vie, et à celle de vos amis.

Décidez de ne pas négliger complétement les relations que vous avez construit au cours de votre vie.

5. Se donner le droit d’être heureux

Le 5ème regret est : « J’aurais aimé me donner le droit d’être plus heureux »

Contrairement à ce que beaucoup de monde peut penser, être heureux n’est pas le résultat de certaines conditions. Il est le résultat d’un choix : un choix que l’on fait chaque jour. Parfois c’est plus difficile, parfois la vie est particulièrement dure, mais nous sommes toujours entourés de bonnes choses (et des bonnes personnes), que nous pouvons apprécier.

Nous avons à chaque moment la liberté de choisir ce sur quoi nous nous concentrons, si sur le positif ou sur le négatif. Nous pouvons conditionner ce choix en nous donnant le droit d’être heureux dans la vie, en cultivant quotidiennement l’habitude de ressentir et exprimer de la gratitude pour tout ce que nous avons, plutôt que de rester focalisés sur ce que nous n’avons pas.

Des pratiques comme la méditation ou la pleine conscience peuvent être très utiles pour apprendre à rester attentifs aux petites et grandes choses de la vie.

Cela peut commencer tout simplement par le fait de sourire, sans raisons particulières, ou par le fait de se retenir et ne pas se plaindre ou dire quelque chose de négatif, ne serait-ce que pendant 5-10 minutes. Si cultivées quotidiennement, ces habitudes peuvent avoir un effet très puissant sur votre niveau de bonheur et de satisfaction.

Notre lumière intérieure : comment la faire briller à nouveau

Bronnie utilise une magnifique image pour exprimer la beauté et la douceur de ce processus d’apprendre à vivre sans regrets. Chacun de nous est comme une magnifique ampoule lumineuse, avec une lumière qui brille de l’intérieur.

A la naissance, le vitre autour de l’ampoule est parfaitement transparent, les gens s’émerveillent de cette lumière et cette beauté, cela leur apporte un grand bonheur.

Puis, avec le temps, de la boue commence à être jetée sur l’ampoule. Au début par nos parents et nos proches, puis par les personnes que nos croisons, par la société. Il n’y a pas forcément des mauvaises intentions, c’est juste que dans certaines situations, ils ne savent pas à faire autrement.

Et à force de voir les autres jeter de la boue, nous finissons par penser qu’ils doivent avoir raison, et nous commençons aussi à jeter de la boue sur nous-mêmes. Et si c’est normal de jeter de la boue sur soi, alors cela doit être aussi ok de la jeter sur les autres…

Chacun de nous est affecté différemment par cette boue : certains deviennent des victimes, d’autres agressifs, d’autres encore semblent s’en débarrasser naturellement. En tout cas, le résultat est que ces tâches empêchent à notre lumière de briller aussi forte qu’elle pourrait.

Et puis un jour, nous en avons assez de toute cette boue, celle jetée par les autres, et celle que nous nous sommes mis nous-mêmes. Nous nous rappelons qu’il y a bien longtemps, nous avions en nous une magnifique lumière. Et nous avons envie de la faire briller à nouveau.

Pour ne pas casser l’ampoule, le travail de nettoyage nécessite du temps et beaucoup d’attention. Il faut enlever les couches l’une après les autres. 

Petit à petit, les premiers rayons de lumière arrivent à percer à travers la boue, et nous pouvons entrevoir à nouveau notre propre beauté intérieure. Cela fait énormément de bien.

La boue que est là depuis longtemps, parfois depuis notre enfance, est la plus difficile à enlever ; elle nécessite un soin extrême pour ne pas tout casser. Nous pouvons avoir envie d’arrêter le nettoyage à ce stade, pour ne pas risquer de casser la vitre, mais la lumière est forte et déterminée, elle veut que nous brillons au maximum, elle nous donne encore plus de force pour continuer

De temps en temps, des personnes vont encore nous jeter de la boue. Nous devrons à nouveau nettoyer l’ampoule, mais cela sera de plus en plus facile, et tant que la tâche est récente, elle sera plus simple à enlever. Et une fois que ce travail délicat est fini, l’intensité de notre lumière surprend tout le monde, nous les premier !!

Et cela peut servir d’inspiration pour les personnes autour de nous : en voyant à nouveau notre lumière (certains même pour la première fois), ils ont aussi envie de commencer à nettoyer leur propre ampoule.

Ce processus prend du temps, et nous devons être patients et tendres envers nous mêmes. La boue c’est cumulé pendant de décennies. Chaque regret demande du courage et de l’amour pour être dépassé. Le choix revient à chacun de nous.

C’est à vous de décider d’être qui vous êtes, trouvez l’équilibre entre votre vie personnelle et professionnelle, parlez honnêtement de vos sentiments, appréciez ceux que vous aimez et donnez-vous le droit d’être heureux. En le faisant, vous faites honneur à vous-même, mais aussi à toutes les personnes qui, en fin de vie, se retrouvent désespéré de ne pas avoir eu le courage de le faire.

Si ce sujet vous intéresse, je vous conseille de voir la vidéo dédié au livre : « Avoir le courage de ne pas être aimé », de Ichiro Kishimi et Fumitake Koga, ainsi que celle dédiée au livre : « Le pouvoir du moment présent » de Ekhart Tolle.

A très vite pour des nouvelles idées !! 


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