T’as en pas marre de continuer à faire du surplace malgré tous tes efforts ?
Des mêmes relations toxiques, d’une carrière au point mort, de tes rêves qui s’éloignent chaque jour un peu plus ?
Pour sortir de cette boucle infernale de conneries, pour arrêter de se tirer une balle dans le pied, pas besoin de chichi sur la pensée positive ou d’autres méthodes de l’espoir.
Il est temps de mettre le doigt sur la racine du mal et de l’arracher une bonne fois pour toutes.
Ce qu’il faut, c’est comprendre le câblage de ton subconscient, et retrouver le contrôle de ton existence, grâce à des outils simples et concret.
Interrompre le cycle d’auto-sabotage est possible. Envie de savoir comment ?
Dans cette vidéo, tu vas découvrir comment tes pensées façonnent ta réalité, et comment les changer pour créer une vie plus alignée avec ce que tu veux vraiment.
Arrête tes conneries : stop à l’auto-sabotage de Gary John Bishop
Gary John Bishop est un coach en développement personnel connu pour son style brut, direct. Son livre « Arrête tes conneries » est une claque pour t’aider à te réveiller et reprendre le contrôle de ta vie.
Il s’agit d’un guide percutant qui te permet de sortir du mental négatif ; grâce à des affirmations simples et puissantes, tu vas pouvoir recâbler ton cerveau et passer plus facilement à l’action.
Je te propose de découvrir 6 mantras puissants que tu pourras intégrer à ton quotidien.
1. Tes pensées et toi, vous n’êtes pas la même personne
Nous sommes souvent piégés par la croyance que cette petite voix intérieure qui râle, qui doute, qui parfois arrive même à nous insulter, c’est nous. Erreur. Nous ne sommes pas définis par ce qui nous passe par la tête. Nous ne sommes pas nos pensées.
De manière beaucoup plus profonde, nous sommes celui (ou celle) qui les entend.
Visualise ton cerveau comme une usine qui tourne sans relâche à la production de pensées vis-à-vis de toi-même. La plupart du temps, ces pensées ne sont pas très flatteuses. La voix à l’intérieur de ta tête répète encore et encore que tu n’es pas assez bon, que tu vas te planter, que tu n’y arriveras jamais.
Et le pire ? C’est qu’à force de l’entendre, on finit par croire que cette voix a raison.
Mais ces pensées ne sont que des bruits de fond. Ce ne sont pas des vérités. Ce sont des automatismes, hérités du passé, des peurs, des croyances auxquelles nous avons été exposés.
Tu as toujours le choix : tu peux choisir de les écouter… ou pas. Voici le truc radical à faire : prendre du recul. Observe tes pensées comme si tu regardais une série à la télé.
Si tu aimes le programme, vas-y : tu peux continuer à regarder. Mais si jamais tu trouves que le programme est nul, tu as toujours le pouvoir de zapper. Il te suffit de comprendre toi pour reprendre le pouvoir dans ta vie.
Tu gardes à l’esprit que tes pensées ne sont que des suggestions. Elles ne sont pas ni la vérité, ni des ordres. Si certaines d’entre elles te tirent vers le bas, tu peux arrêter de les suivre.
La liberté d’esprit n’est pas un filtre qui te permet de choisir les pensées que tu vas avoir et celles que tu vas tenir à l’écart.
Plus simplement, cela consiste à avoir toujours le choix de celles que tu décides de croire.
2. Tu es ce que tu fais, pas ce que tu penses
C’est l’une des vérités les plus dures à entendre, mais aussi des plus libératrices. Contrairement à ce qu’une panoplie d’experts en développement personnel continuent à soutenir, ce ne sont pas tes pensées qui définissent qui tu es, mais ce que tu fais.
Tu peux passer ta journée à te convaincre que tu vas changer, que tu vaux mieux que ta situation actuelle, que demain tu vas t’y mettre… mais tant que tu ne fais rien, il ne se passe rien. Il n’y a pas à passer beaucoup de temps à tourner autour du pot : tu veux que ta vie change ?
Alors change tes actions. Point.
On entend souvent que pour attirer le bon, nous devons penser positivement.
Mais cela n’est jamais suffisant. Les pensées ne valent rien sans les actes. C’est l’action, même imparfaite, même minuscule, qui déclenche le mouvement. Tu veux avoir plus de confiance ? Agis comme si tu l’avais. Tu veux te sentir plus en forme ? Bouge ton corps. C’est aussi simple que ça.
Arrête d’attendre le moment parfait où tu seras prêt, où tu auras un max de motivation, où tu te trouveras dans de meilleures conditions.
Ces excuses ne sont que des pièges mentaux pour retarder le moment d’agir. La seule chose qui compte vraiment, c’est ce que tu fais ici et maintenant.
Alors pose-toi ces questions : quelles sont les actions que tu répètes tous les jours ? Est-ce qu’elles te rapprochent ou t’éloignent de la vie que tu veux vraiment ?
Sois le plus honnête possible avec la réponse. Elle peut peut-être piquer, mais elle te donnera aussi une direction claire. Tu n’es pas ton passé. Tu n’es pas tes pensées. Tu es ce que tu fais.
À partir de maintenant, choisis des actions qui vont dans le sens de tes vrais objectifs. Et fais-les, même si t’as pas envie. Surtout quand t’as pas envie.
3. Tu peux faire face à tout
Tu penses que certaines situations sont trop dures pour toi ? Que tu n’as pas les épaules pour supporter certains coups de la vie ? Tu te trompes.
Tant que tu gardes même une version légère de cette croyance, elle va fortement limiter les évolutions et les résultats que tu peux espérer de la vie. Le point de vue de l’auteur ne peut pas être plus clair : tu peux faire face à absolument tout.
Pas parce que tu es invincible ou que tu ne ressentiras jamais de douleur. Mais parce que dans ta vie tu as déjà traversé des galères pas faciles, et pourtant tu es toujours là.
Regarde bien ta vie. Les moments difficiles que tu as surmonté ne manquent pas : des déceptions, des échecs, voir même des drames. Et malgré tout ça, chaque matin tu te lèves.
Qu’est-ce que cela veut dire? Que tu es plus fort que ce que tu crois. Le problème n’est jamais la difficulté à laquelle tu dois faire face.
Ce qui est dur, c’est ta réaction face à elle. C’est le discours que tu te répètes dans ta tête.
Du genre : « Je ne vais jamais y arriver », « C’est trop dur pour moi », « Je ne suis pas fait pour ça ».
Stop. Au lieu de te soumettre à tes pensées ou de vouloir les combattre, décide de les observer… et les laisser passer. Remplace ces pensées par une nouvelle affirmation : « quoi qu’il arrive, je peux y faire face ».
Ce simple changement d’état d’esprit transforme complètement ton approche. Tu arrêtes de fuir les problèmes. Tu ne les redoutes plus.
Tu es prêt à les gérer, un pas après l’autre. Pas besoin de tout affronter d’un coup. Ce qui compte, c’est de faire un tout petit pas. Puis un autre. Et encore un.
La vraie force, ce n’est pas de ne jamais tomber. C’est de se relever à chaque fois.
4. Tu es responsable de ta vie
Tant que tu continues à croire que ce sont les autres, les circonstances ou la malchance qui sont responsables de ta situation, tu resteras coincé·e. Oui, c’est vrai : la vie peut être injuste. Oui, tu n’as pas choisi ton passé, tes parents ou les obstacles trouvés sur ton chemin.
Mais tu sais quoi ?
Rester passif et ressasser ces choses n’est pas une stratégie qui va t’aider. Choisis une autre vérité, douloureuse mais puissante, à laquelle faire face : tu es responsable de ta vie.
Attention : tu n’es pas coupable, tu en es responsable. Très probablement, beaucoup de choses qui te sont arrivées, tu ne les as pas choisies.
Mais tu es le seul qui a le pouvoir de choisir comment réagir, comment avancer, et quoi faire avec ce que tu as. Tant que tu cherches à l’extérieur de toi les coupables de ce qui t’arrive, tu abdiques ton pouvoir.
Tu restes prisonnier de l’attente : que quelqu’un te sauve, que la situation change, que la vie te donne enfin ta chance. Mais si tu l’attends, cette chance n’arrivera jamais. Cette chance, c’est à toi de la créer.
Assumer tes responsabilités commence par les mots que tu utilises. Arrête de dire “je ne peux pas”. Dis plutôt : “je choisis de ne pas”.
C’est un simple changement de vocabulaire, à l’apparence anodin, mais il remet dans tes mains les clés de ta vie. Tu n’es plus victime, tu es acteur.
Au début, c’est inconfortable. Il n’y a plus d’excuses derrière lesquelles se cacher. Mais c’est extrêmement libérateur : tu réalises que tu as toujours, toujours le choix.
Même quand tu penses de n’avoir aucun.
Il ne s’agit pas de contrôler tout ce qui arrive. Il s’agit de choisir ce que tu fais avec ce dont tu disposes. À chaque instant, tu peux décider de t’apitoyer… ou de construire. De subir… ou d’agir.
Pose-toi cette question : qu’est-ce que je choisis maintenant ?
5. Ce à quoi tu t’attends, tu le crées
Si tu t’attends à ce que les choses tournent mal, il y a de grandes chances… que ce soit exactement ce qui va se passer. Pas à cause d’une malédiction ou de la loi de l’attraction façon magique, mais parce que tes attentes conditionnent tes attitudes, tes choix, et donc tes résultats.
Tu n’attires pas ce que tu veux. Tu attires ce que tu tolères.
Et ce que tu tolères, c’est souvent le reflet direct de ce que tu crois mériter.
Ton système d’attentes est la fondation invisible de ta réalité. Si tu crois, au fond de toi, que tu n’es pas fait pour réussir, que tu ne trouveras jamais quelqu’un de bien, ou que tu n’arriveras jamais à te libérer de tes blocages… alors tu vivras exactement ce scénario.
Mais l’inverse est vrai aussi. Quand tu changes tes attentes, tu commences à agir différemment. Tu relèves la tête.
Tu dis non à ce qui n’est plus acceptable. Tu oses. Tu ajustes ton comportement au niveau de ce que tu veux, pas de ce que tu subis.
Comme toute nouvelle habitude, au début elle ne sera pas facile. Ton mental va résister, te rappeler « qui tu es », d’où tu viens, ce que tu as raté. C’est là que tu dois tenir. Parce que tu n’es pas ton passé. Tu es ce que tu choisis maintenant.
- Tu veux du respect ? Commence par te respecter.
- Tu veux du changement ? Assume l’identité qui en est capable.
- Tu veux plus dans ta vie ? Arrête de penser petit.
Ce que tu crois possible est souvent bien en dessous de ce que tu peux réellement faire. Alors relève tes standards. Et regarde ta vie évoluer à leur hauteur.
6. Tu es prêt, maintenant
Tu connais parfaitement l’excuse préférée de notre mental, celle qui revient toujours en boucle. C’est : « Je ne suis pas encore assez ». Pas assez compétent. Pas assez confiant. Pas dans les bonnes conditions.
Ça te dit d’être honnête deux secondes ? Cette excuse, c’est juste une manière chic de dire : « J’ai peur. »
La peur est tout à fait compréhensible. Mais l’excuse de ne pas encore être prêt, elle, elle est fausse. Tu es prêt. Maintenant. Pas demain. Pas quand tout sera parfait. Pas quand tu te sentiras inspiré. Maintenant.
Le mythe du moment parfait n’est qu’un mythe : il n’existe pas. La vie ne va pas ralentir pour t’attendre. Pendant que tu prends ton temps, que tu planifies une nouvelle fois, que tu attends un signe de l’univers pour passer à l’action… tu perds un temps précieux à ne pas agir.
Cette incompréhension est le fruit d’une mauvaise définition. Être prêt, ce n’est pas avoir toutes les réponses. Être prêt, c’est être assez engagé pour y aller malgré l’incertitude.
Ce n’est pas savoir comment tout va se passer. C’est décider que peu importe ce qui se passe, tu trouveras une solution.
Ce qui bloque la majorité des gens, ce n’est pas le manque de capacité. C’est le manque de décision.
Décide maintenant. Dis-toi : « J’y vais. Même si j’ai peur. Même si je ne suis pas sûr. Même si c’est inconfortable. »
C’est le mouvement qui qui déclenche la confiance. Et c’est l’action qui nourrit la clarté.
Tu veux créer du changement ? Commence avec ce que tu as, depuis là où tu te trouves aujourd’hui. Pas de stress : ce n’est pas un sprint. Mais c’est un engagement, et chaque pas compte.
Voilà, tu connais désormais les conseils de Gary John Bishop dans son livre « Arrête tes conneries : stop à l’auto-sabotage ». Arrête d’attendre, arrête d’espérer, arrête de penser. Commence à agir. Tu n’as pas besoin de devenir quelqu’un d’autre pour réussir. Tu dois juste arrêter de croire aux mensonges que tu te racontes.
Alors, quelles sont les conneries que tu es prêt à laisser tomber dès aujourd’hui ?
Et quelle action, même petite, tu vas faire pour montrer que tu reprends le pouvoir ?
Et voici un dernier mantra que je te propose d’adopter pour complétement transformer ta vie : je crée mon Side Business.
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